samedi 4 avril 2015

Nos deux clowns blancs

Ce matin, pas de visuel de mes poilus, d'un côté, de l'autre, obligée de sortir en me disant "oh ils doivent être couchés tranquilles...."
je m'avance et là, mes fils pétés et les deux gros le nez dans l'herbe fraiche.

je m'équipe pour sortir, j'arrive devant le pré, et là deux innocents


Genre ben quoi, on a rien fait
Et là mon Tiboun arrive auprès de moi, comme pour dire "c'est pas moi hein", qui peut résister à cette bouille


Je me tourne donc vers mon deuxième suspect
qui me dit "quoi qu'est-ce qu'il y a, je sais pas moi!!"

Parce que hier soir, voyant le niveau de l'herbe dans le paddock très bas, je me suis dit bon demain matin, changement de paddock.
Et depuis quand c'est les poilus qui font leur gestion de pâture????

Je procède donc à l'installation  du nouveau paddock et les deux clowns piétinent de l'autre côté du fil électrique posé à terre genre "oh non, on ne peut pas passer au dessus", alors sans faire d’anthropomorphisme, je crois qu'ils se foutent de moi!!!!!



Bon, trêve de plaisanterie, boulot cet aprem

Et c'est reparti.......
Maligne s'amuse en nous voyant arriver avec les licols et Madame s'éclate en chassant Beauregard comme pour le faire accuser parce qu'il est intenable.
Bon ça y est on y est, enfin!!!
 Travail avec la selle, déplacements latéraux, le huit de chiffre, et travail en liberté, puis......
Galop




Au tour de Maligne et Lilou, pour du travail sur les postérieurs.
Huit de chiffre au pas et au trot, puis transition rapprochée et début d'incurvation.





Direction pour tous vers la carrière pour travail sur le plot, peu orthodoxe pour Beauregard mais le boulot est fait , même s'il s'en débarrasse rapidement

De l'autre côté


 C'est la maintenant au tour de Maligne, elle sent, comprend pas à quoi ça sert ce truc

 Puis Lilou l'aide à mettre son antérieur et à avancer et............
Trop forte
 Pour une première, elle se débrouille bien la louloute
 Fières du travail des louloutes aujourd'hui
Elle a su se faire pardonner de ses bêtises du jour la Maligne


Mais toi aussi mon Tiboun tu as bien travaillé, je suis fière de toi.


Des journées comme on les aime

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